Après le resserrage des derniers boulons, un test nous prouvant qu’au vu de la dureté des lames, nous n’aurons pas besoin des butées et les vibrations sont bien plus importantes, nous chargeons tout et partons. Nous reprenons la route mais vers Bayankhongor et plus vers Altai afin de trouver au plus vite une meuleuse et des boulons pour remonter les différentes plaques.

La route est très belle, nous arrivons à Bayankhongor en milieu d’après-midi. En arrivant sur Bayankhongor, nous prenons un peu de la route vers Altai, et l’ambiance dans le camion devient très morose. La piste est pourrie et il y a 400km jusqu’à Altai. Nous nous arrêtons pour manger dans un restaurant, très bon, nous en avons pour 13€ à 5.

2 équipes sont formées Lara et maman sur les courses ravitaillement et les garçons les achats mécaniques.

Nous trouvons tout ce qui nous faut assez rapidement, nous laissons Thierry chez un mécanicien pour faire ressouder la lame arrière et allons rechercher les filles en centre-ville. En bougeant le camion, je manque de tout exploser en montant sur une plaque d’égout, ou plutôt un trou d’égout très présent dans la ville.

La lame est ressoudée, Olivier a récupéré des infos sur la route, visiblement il n’y en a que pour 10h en semi-remorque pour aller jusqu’à Altai et 6h en Hummer.

Encore un arrêt achat pour compléter les courses, notamment une boite à œuf, un deuxième cric de 10t et une lampe 12V pour faire un spot lumineux pour l’extérieur qui tient à cœur à Thierry.

Nous cherchons un endroit à l’extérieur de la ville pour nous poser pour la nuit, puis revenons dans un petit resto routier pour manger. Encore très bon, nous avons bien ri pour arriver à nous faire comprendre, il n’y avait pas la photo des plats. Nous repartons à l’endroit que nous avons repéré pour dormir.