Je m’attaque à la recherche des pièces, je fais un premier magasin qui m’indique une casse, puis de cette casse, je vais à leur dépôt à la sortie de la ville, puis prend un des mécanos avec moi pour aller à l’endroit où ils entreposent les carcasses. Finalement je ne trouve rien dans la casse qui semble être la seule d’Izmir, les prix sont les mêmes que chez nous même en tentant de négocier ferme. Je retourne donc au premier magasin, commande les pièces qui arriveront mardi. J’ai donc 3 jours à tuer. Je fais un dernier tour dans le bazar mécanique, pour voir éventuellement pour l’échappement, c’est également les mêmes prix que en France, je le ferai donc à la maison. Je fais 50km pour me retrouver au bord de l’eau à l’extérieur de la ville, sur une plage en fin de bétonnage inexorable.

Il fait toujours vent et donc assez frais, le reste de riz de ce matin me tient toujours, je me suis acheté ma première bière depuis que je suis seul, avec un parquet de chips et les olives cela me fait mon repas.