Il y a toujours beaucoup de vent, les pêcheurs ne prennent rien, je sors tenter ma chance mais très rapidement je laisse tomber, je me caille. Je reste dans le camion à lire un peu. Finalement vers 15h je bouge vers Izmir, je change de l’argent (seul les AK Bank le permettent) et cherche la zone du bazar mécanique. Je m’arrête dans un garage Renault, pour demander, après quelques difficultés, nous finissons par nous comprendre et ils me fournissent l’adresse. 1km plus loin je m’arrête de nouveau, mon téléphone n’a plus de batterie. Je suis en train de le mettre à charger quand un jeune homme m’interpelle dans un super anglais. Il travaille dans le magasin devant lequel je me suis arrêté et me demande si j’ai besoin d’aide. On discute un petit moment, il m’offre le thé, et m’imprime la carte de l’endroit où je dois me rendre. Je vais finalement me poser pour la nuit à 2 rues de là, en pleine ville.